Tout d’abord, je dois souligner que j’accepte de témoigner uniquement parce que l’observation qui a été faite par moi-même (le commandant de bord), mais aussi par la copilote et le steward qui étaient dans le poste de pilotage, a été confirmée par une TRACE RADAR enregistrée au Centre d’Opérations de la Défense Aérienne (CODA).
Cette observation, largement connue dans le milieu ufologique, mais aussi, maintenant dans le public grâce à de nombreuses émissions de TV, a été réalisée lors du vol AF 3532, entre Nice et Londres, à bord d’un Airbus A 320, le 28 janvier 1994…
Nous étions en croisière à l'altitude de 11 700 m, et c’est à 13H14, à environ 20 km au Nord-Ouest de COULOMMIERS, par d'excellentes conditions météorologiques, que le steward a signalé un objet qui lui paraissait être un ballon météorologique.
Son observation a été aussitôt confirmée par la copilote, qui a identifié, elle aussi, cet objet comme un ballon météorologique, puis il est identifié par moi-même comme un avion en virage à 45° d'inclinaison, ce qui est tout à fait anormal à cette altitude…
Très rapidement cependant, nous avons constaté que ce que nous voyions ne ressemblait à rien de connu et que nous avions à faire à ce que l’on appelle communément un Objet Volant Non Identifié, un OVNI…
La visibilité illimitée, et la présence d'ALTOCUMULUS (sommet max entre 5000 m et 7000 m), m’ont permis d'estimer que cet OVNI était à l'altitude de 10 500 m, et à une distance d'environ 25 miles nautiques, soit 47 km.
Il est nécessaire de souligner qu’à bord d’un avion de ligne qui se déplace à plus de 200 mètres pas seconde il est très facile d’apprécier les DISTANCES avec un autre aéronef en raison de l’impression de défilement plus ou moins rapide, et inversement proportionnel à l’éloignement, avec l’aéronef en question.
Compte tenu de son DIAMÈTRE APPARENT, celui de la LUNE, soit ¼ de l’épaisseur de l’index bras tendu, ou encore 0° 30’, nous en avons déduit que l'engin observé était d’une taille gigantesque car un aéronef est impossible à distinguer à une telle distance.
Sa forme était celle d’une gigantesque lentille rouge sombre en évolution, les contours flous, et nous avons pu l’observer pendant plus d’une minute sur la gauche de l’appareil.
Le plus étonnant est que cet engin a DISPARU PROGRESSIVEMENT, en 10 ou 15 secondes, comme s'il s’était DÉMATÉRIALISÉ…
Conformément aux règles de l’Air, nous avons fait un COMPTE-RENDU au centre de contrôle de la Navigation aérienne de Reims qui nous a indiqué n'avoir aucune information sur une quelconque présence d’aéronef dans le voisinage.
En application de la procédure existante, le Centre de Reims a informé le Centre d'opérations de la défense aérienne (CODA) de Taverny de notre observation.
Au retour à l’aéroport Charles de Gaulle, le chef pilote A 320 m’a demandé de rédiger un rapport que je n’ai pas fait car les CARACTÉRISTIQUES de cet OVNI étaient totalement inconcevables avec mes connaissances scientifiques, et que, surtout, je n’avais jamais eu d’information sur ce type de phénomène dans ma carrière…
Ce n’est que trois années plus tard, en 1997, en lisant un article dans Paris-Match, que j’ai appris que le CODA avait enregistré, au même moment, une piste radar initiée par le centre de contrôle de Cinq-Mars-la-Pile et qui correspondait, en lieu et en heure, au phénomène observé…
J’ai alors décidé, compte tenu de l’existence de cette IDENTIFICATION RADAR, de rédiger un rapport à la Gendarmerie Nationale de l’aéroport de Charles de Gaulle qui a ensuite transmis au Sepra (CNES) ainsi qu’au groupe d’études des OVNI constitué au sein de l’association des anciens élèves de l’Institut des hautes études de la Défense nationale (IHEDN).
Lors d’une réunion à l’École militaire de ce groupe de travail (le COMETA) en mars 1997, j’ai eu la confirmation qu’une piste radar de l’OVNI avait bien été enregistrée pendant 50 secondes et avait croisé à moins de un mile nautique (1852 m) la trajectoire du vol AF 3532…
De plus, le phénomène avait disparu, au même instant, à la vue de l'équipage et des scopes radar.
Les investigations menées par le CODA ont permis d'exclure l'hypothèse du ballon météorologique et de connaître la distance précise de croisement des deux trajectoires radars.
La taille de l’OVNI a été évaluée, lors de cette réunion, à environ 250 mètres, mais ceci est une première estimation, et je penche, aujourd’hui, plutôt pour une dimension d’environ 400 mètres (avec une marge d’erreur de + ou - 100 mètres) compte tenu de l’angle apparent, 0°30’, et de la distance de 25 NM.
Il est à noter que le Centre régional de la navigation aérienne (CRNA) Nord, qui traite 3 000 mouvements par jour, n'a instruit que trois cas, dont celui du vol AF 3532, dans les sept dernières années.
Lorsque l’on lit le résumé de l'observation faîte dans le rapport COMETA, il n’est pas évident de réaliser que l’identification radar et l’observation visuelle de l’équipage ne sont pas superposées, et pourtant...
En effet, au moment de l’observation visuelle l’OVNI ÉTAIT SUR NOTRE GAUCHE, à environ 25 milles nautiques (47 km), alors que la TRACE RADAR va de droite à gauche, et passe à MOINS D’UN MILE NAUTIQUE (1,8 km) de l'avion…
Comment expliquer une telle anomalie ?...
Reprenons en détail les deux observations :
L'OBSERVATION VISUELLE peut se résumer de cette manière :
- Angle visuel apparent : Celui de la Lune, ou 1/4 de l'épaisseur de l’index, ou encore 0°30’.
- Distance : 25 miles nautiques soit 46 à 47km.
- Forme de lentille
- Couleur rouge foncée
- Contours flous
- Objet incliné à 45 degré au moment de l’identification visuelle
- Durée de l'observation 1mn à 2mn
L'OBSERVATION RADAR peut quant à elle se résumer de la manière suivante :
- Durée écho : 50 secondes
- Cap 240 (Ouest)
- Vitesse estimée : 100 noeuds soit 185 km/h
Il semble bien que les horaires correspondent, et que l’identification radar et l’observation visuelle sont simultanées.
Mais l'analyse de l’enregistrement du radar montre une QUASI-COLLISION entre l'Airbus A320 et l’écho radar, ce qui, si cela avait été le cas, aurait quand même été détecté par l’équipage, surtout à la vitesse de croisière d’un avion de ligne!...
En effet, la trace radar coupe la route de l’Airbus à moins d'un mile nautique, alors que pour nous cet OVNI est toujours resté immobile à une distance de 46 à 47 km à l'ouest de l’appareil…
Y aurait-il une totale incohérence entre l’observation visuelle et l’identification radar ?...
QUELLES EXPLICATIONS ?...
Sur une telle observation il est possible de développer un ensemble d’hypothèses qui sont toutes, plus ou moins, du domaine de la science-fiction, et celle-ci n’échappe pas à la règle !...
Mon sentiment est que cet OVNI était bien réel, et qu’il a généré délibérément un écho radar artificiel, très éloigné de sa position, par un système de contre-mesures électroniques, et ceci afin d’éliminer tout risque d’attaque par la Défense aérienne !...
C’est un moyen classique en guerre électronique, car il permet de détourner l’attention de l’adversaire vers un leurre… Dans cette observation si un missile avait été tiré vers cet OVNI, c’est l’Airbus A 320 qui aurait été vraisemblablement touché !...
Concernant l’origine de ce vaisseau galactique - car je pense que cet objet en était un - je retiens quatre hypothèses :
A/ La première hypothèse est que cette observation soit une DÉMONSTRATION DE PUISSANCE TECHNOLOGIQUE d’une civilisation EXTRATERRESTRE qui désire se montrer officiellement, en plein jour, au-dessus d’une capitale de la planète.
B/ La deuxième hypothèse est que l’objet observé est un APPAREIL AMÉRICAIN… En effet, la récupération d’un OVNI par les Américains à Roswell est maintenant une certitude, et des sauts technologiques extrêmement importants auraient pu être faits…
C/ La troisième hypothèse est que cette démonstration de puissance technologique a été réalisée par une CIVILISATION EXTRATERRESTRE EN COLLABORATION AVEC LES AMÉRICAINS. Cette hypothèse, très hardie, retient un partenariat E.T. / USA dans le domaine du déplacement spatial…
D/ La quatrième hypothèse est que cet objet ne soit ni terrestre, ni extraterrestre, mais autre chose… Et dans les différentes possibilités, il y a celle d’un objet terrestre venant de notre FUTUR….
Mais ce n’est pas tout !!!....
En reportant la position visuelle de cet OVNI sur une carte aéronautique de la région parisienne, je me suis rendu compte que l'objet identifié par nous se trouvait dans un rayon d’environ 5 NM (9 km) de la VERTICALE DE TAVERNY…
Pour ceux qui ne le sauraient pas, rappelons que sur cette commune se trouve le centre de commandement stratégique nucléaire de l'armée française.
Finalement, comme ce type de vaisseau spatial est connu pour créer de très forts champs magnétiques, je me pose aussi cette question : « Lors de l’observation de cet OVNI, les DÉTECTEURS DE CHAMPS MAGNÉTIQUES DE TAVERNY ont-ils détecté une variation importante du champ magnétique terrestre ?... »
Ce qui expliquerait les contours flous de l’OVNI…
La Défense Nationale en sait-elle plus sur cette observation ?....
A vrai dire, il y a aussi une autre question qui peut être posée au sujet de cette observation…
C’est celle-ci : A QUI ÉTAIT DESTINÉE CETTE DÉMONSTRATION DE PUISSANCE TEHNOLOGIQUE ?...
Il semble évident que les destinataires de cette observation sont la Défense Nationale, les Parisiens, mais aussi l’équipage de l’Airbus…
La DÉFENSE NATIONALE me semble, en effet, être le principal destinataire de cette observation pour plusieurs raisons.
La première c’est qu’il y a eu un écho radar indiscutable et il est connu que de nombreuses d’observations d’OVNI ont été faites en grande partie autour des centres de recherches, de fabrication et de stockage des ARMES NUCLÉAIRES.
Le rapprochement des observations d’OVNI avec les explosions nucléaires a été effectué par Jean-Jacques Vélasco, ancien directeur du Sepra, dans plusieurs ouvrages dont le dernier est intitulé « Troubles dans le ciel »…
La Terre semble sous surveillance, et cela a été particulièrement vérifié lors de la période des essais nucléaires dans l’atmosphère, durant les années 50 et 60, et qui ont correspondu à de très nombreuses manifestations d’OVNI…
La deuxième raison c’est que si l’OVNI s’est, de plus, immobilisé au-dessus de Taverny, cela n’est pas forcément un hasard….
Mais les PRINCIPAUX DESTINATAIRES de cette fantastique démonstration de présence extraterrestre, puisqu’il faut bien appeler ainsi cette observation, SONT aussi LES PARISIENS qui devront réaliser progressivement qu’un gigantesque VAISSEAU GALACTIQUE s’est, peut-être, matérialisé puis dématérialiser au-dessus de PARIS…
Il y a très peu de cas d’observation d’OVNI au-dessus d’une capitale de notre planète.
Le premier cas est la célèbre vague d’OVNI au-dessus de WASHINGTON, de juillet et d’août 1952, très détaillée, et dont les observations sont largement disponible sur le Web.
Le deuxième cas a eu lieu le 16 août 1954, lorsqu’un OVNI a été observé par des dizaines de milliers de témoins à TANANARIVE, Madagascar.
Le troisième cas est celui de TÉHÉRAN, le 19 septembre 1976, où eurent lieu deux tentatives successives d'intercepter un OVNI détecté par les radars au sol et largement signalé par des civils qui le voyaient, de nuit, au-dessus de la ville…
La quatrième observation d’OVNI au-dessus d’une capitale est la nôtre…
Mais il y a une question qui m’avait été posée par un haut responsable scientifique de la Défense lors de la réunion du COMETA à l’École Militaire, en mars 1997, et que je dois rapporter : « Pensez-vous que cette observation ait un rapport avec vos activités ?... »
Ce qui voulait dire que si une démonstration aussi spectaculaire a été organisée par une civilisation extraterrestre pourquoi n’aurait-elle pas aussi choisi un ÉQUIPAGE d’aéronef en particulier ?...
Et ma réponse avait été, à peu près, celle-ci : « Oui, il est tout à fait possible que l’équipage ait été délibérément choisi en raison de la création d’un LABORATOIRE D’IDÉES, que j’avais fondé en novembre 1993, et dont les objectifs étaient extrêmement ambitieux… »
Mais il est aussi possible que la copilote et le steward auraient aussi eu de bonnes raisons de penser qu’ils avaient eux aussi « été choisis »…
Je me dois de développer ce point précis afin que les lecteurs puissent comprendre ce que je voulais dire…
En fait, j’avais créé, à l’automne 1993, une association « Les Clippers de France », avec de nombreuses personnalités du monde maritime, civil et militaire, et nous avions pour objectif de développer les moyens de réinsérer les jeunes marginalisés (notamment ceux des banlieues) par la navigation, en équipage, à bord de grands voiliers…
Je ne rentrerai pas dans les détails car ce projet est disponible sur le Web
Mais je vous recommande de LIRE TOUTES LES NOTES de ce blog si vous voulez avoir un aperçu du projet EUROCLIPPERS qui y est développé dans la continuité des travaux du laboratoire d’idées « Les Clippers de France »…
Cette observation d’OVNI du 28 janvier 1994 est-elle liée à ce projet d’école de voile à bord de grands voiliers ?... Cela serait assez extraordinaire, mais, comme nous sommes en pleine science-fiction, pourquoi pas ?...
A vrai dire, il y a un élément curieux qui m’incite à penser que cette hypothèse n’est pas complètement farfelue !...
En effet, si cela est le cas, il devrait bien se trouver de nombreuses autres observations d’OVNI faites à bord de VOILIERS, ou pendant des RÉGATES… Ce type d’observation est relativement fréquent dans le milieu maritime, et il est possible que nous ne soyons pas au bout de nos surprises…
De plus, récemment, j’ai pu avoir connaissance d’une observation d’une soucoupe volante au-dessus de la régate de l'EDHEC, en rade de Brest, le 20 Avril 2007, et qui aurait été, de plus, photographié...
Attendons d’en savoir un peu plus sur ce cas…
Aussi, est-il possible d’imaginer qu’une partie des prochaines observations d’OVNI de l’été prochain soit au-dessus de l’une des nombreuses manifestations nautiques prévues ?...
Pour ma part, je m’y risque pour deux raisons !!…
La première raison est qu’il y a une véritable accélération des observations OVNI sur l’ensemble de la planète, et que ceci devrait continuer…
La deuxième raison est la proximité d’importants évènements nautiques en juillet et août 2007 et que ces manifestations très médiatisées pourraient être l’occasion d’observations indiscutables d’OVNI, destinées au grand public…
Aussi je donne une PROBABILITÉ relativement élevée d’observation d’OVNI pour les courses des grands voiliers 2007, que cela soit durant les étapes en haute mer ou lors des escales dans les ports organisateurs :
● COURSES DES GRANDS VOILIERS DANS LA BALTIQUE organisée du jeudi 5 juillet 2007 au mardi 7 août 2007, et dont les étapes sont les suivantes :
Première Course : ARHUS (Danemark) à KOTKA (Finlande) du 5 juillet au 21 juillet 2007.
Course en compagnie : KOTKA (Finlande) à STOCKHOLM (Suède) du 21 juillet au 27 juillet 2007
Deuxième Course : STOCKHOLM (Suède) à SZCZECIN (Pologne) du 27 juillet au 7 août 2007
● COURSES DES GRANDS VOILIERS EN MÉDITERRANÉE organisée du vendredi 4 juillet au mardi 31 juillet 2007:
Première course : ALICANTE (Espagne) à BARCELONE (Espagne) du 4 juillet au 12 juillet 2007.
Course en compagnie : BARCELONE (Espagne) à TOULON (France) du 15 juillet au 21 juillet
Deuxième course : TOULON (France) à GÊNES (Italie) du 24 juillet au 31 juillet 2007.
Vous pouvez trouver plus d’information sur ces courses de grands voiliers
Amusant EXERCICE DE PROSPECTIVE, qui en vaut bien un autre, compte tenu du nombre d’incertitudes qui règnent sur le phénomène OVNI….
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Jean-Charles DUBOC
Le 18 juin 2007
4 commentaires:
Cette histoire est tout simplement incroyable,je pense pour ma part que vous avez été choisi par crédibilité ,car en effet un équipage d'avion de ligne sont par définition des hommes responsables et avec une grande connaissance du monde du ciel,"il" savait que vos témoignages seraient pris au sérieux par les autorités compétentes.J'admire le courage que vous avez eu en décidant de rendre public l'observation que vous avez faites.Cordialement. David
Bonjour David,
Effectivement, votre analyse est la bonne.
Bien à vous.
JC.GRELET
J'aurais deux question,je n'ai pas trouver de trace sur cette observation sur le site du "GEIPAN" comment cela est il possible?Et lors de la dématérialisation de "l'objet" a t'il disparu d'un coup ou en laissant une sorte de trait horizontal lumineux un peu comme quand on éteint un vieux téléviseur l'image disparait dans une ligne de lumière horizontal?Merci d'avance. David
Re-Bonjour David,
Encore une fois, vous posez la bonne question ! Si l'observation de JC.DUBOC (et de son équipage), n'apparaît pas dans les "dossiers publics", du GEIPAN, cela veut simplement dire qu'ils ne sont que le sommet d'un iceberg qui est peut-être beaucoup plus important... Pour votre seconde question, je ne sais pas, je tâche de poser la question à JC.DUBOC lui même.
Bien à vous.
JC.GRELET
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