9 juin 2007

OVNI : INTERVIEW DE MAHMOUD E.YOUSSIF - RESPONSABLE DU SITE INTERNET EXMF PROPULSIONS - KENYA


MAMHOUD E.YOUSSEF, vous êtes le responsable du site Internet EXTERNAL MAGNETIC FIELD PROPULSION SYSTEM. Pouvez-vous nous dire en quelques mots quel est le but d’une telle structure et qu’est-ce qui vous prédestinait dans votre parcours personnel et professionnel à faire des recherches sur le phénomène OVNI ?

M.E.Y : Tout d’abord, le but principal de mon site Internet (ExMF-PS),est de faire connaitre mes recherches en physique théorique (aux scientifiques en particulier), sur lesquelles je travaille depuis douze ans, et qui ont abouti à un système externe de propulsion des champs magnétique (ExMF-PS), que je publie sur ce site, le rendant ainsi accessible au gens du monde entier.

D’autre part, je suis devenu impliqué et obsédé (si je puis dire), par ce type de phénomènes, depuis que j’en ai vu un le 15 janvier 1995, sous la forme d’un objet cylindrique énorme (que je décris amplement sur mon site, rubrique, (The Sighting), et pour lequel j’ai découvert plus tard que c’était un OVNI. Ensuite, je me suis aperçu que beaucoup de gens avaient écrit au sujet de leurs observations, aussi, je ne voulais rien ajouté de plus, à moins d’avoir un semblant d’explication concernant les mécanismes qui se trouvaient derrière leurs systèmes de propulsion, ce qui permettrait de convaincre plus de gens sur la réalité de ce phénomène, et aider aussi, à la résolution d’un système d’énergie alternative et renouvelable.

Par ce biais, je suis arrivé à la conclusion que le système des OVNI est basé sur différentes théories de physique fondamentale. Mes recherches m’ont amené aux travaux du physicien Hans Christian Oersted, de l’université de Copenhague, qui découvrit en 1820, « qu’il y avait interaction entre les forces magnétiques et les forces électriques » ou que « le courant électrique produit un champ magnétique autour de lui », ces travaux ont été ensuite repris par le physicien Français André Ampère.

J’ai reformulé ces équations en utilisant des mesures de physique magnétique, sur lesquelles j’ai suggéré un nouveau modèle atomique avec des lignes spectrales, la force nucléaire, la production de neutrons, la production de champs magnétiques externes (ExMF), l’excitation des particules chargées et la fusion nucléaire. Ces recherches ont été rassemblés sous forme de quatre documents : L’hypothèse d’interaction magnétique (MIH), Les éléments des lignes magnétiques de force (EMLF), La force magnétique de rotation (SMF), et Les Energies universelles (UE), ils ont été publiés dans The Journal of the Theoretics.

En utilisant ces derniers comme bases, j’ai suggéré l’idée du système externe de propulsion des champs magnétiques (ExMF-PS), comme moyen de propulsion d’objets volant sous diverses formes. Que ce soit sur Terre ou sur les Mers.

Je voudrais dire que je n’ai pas gaspillé tant d’années de ma vie alors que ma situation est plus que précaire en Afrique, si je ne pensais pas que l’enjeu était très important autant pour moi que pour toutes les personnes qui se trouvent sur cette Planète.

En tant que Musulman du Darfour, j’ai su trouver assez de force en moi, pour d’une part, tentait de dévoiler ce qui se cache derrière le génocide et d’autre part, participait à ma manière, à l’idée d’un monde meilleur basé sur la coexistence entre les êtres humains. Une page est d’ailleurs dédié à ce sujet The Absolute Truth (qui fera l’objet très bientôt, d’un site Internet séparé).

Le continent Africain est très grand et pourtant, nous n’avons que très peu d’informations sur les observations d’OVNI qui s’y déroulent. Pouvez-vous nous dire s’il y a eu des observations durant ces derniers mois ?

M.E.Y : C’est vraiment regrettable, la plupart des gens ne se soucient pas des OVNI en Afrique. Pour les gens cultivés, c’est un domaine intouchable, pour les personnes sensibles à ce phénomène, elles n’en parlent simplement que comme un reflet de la culture Occidentale actuelle. Tandis que pour les autres, elles ne souhaitent pas s’exprimer sur leurs expériences (ceci pourrait être lié aux grandes peurs suscitées pendant les observations), bien que certaines m’aient indiqué vouloir faire part de leurs expériences. J’ai l’intention d’ailleurs d’en parler prochainement sur mon site Internet.

Bien qu’il y ait quelques groupes ufologiques en Afrique du Sud et au Zimbabwe, il n’y en a aucun au Kenya, bien que certaines personnes soient intéressées par ce type de phénomène ici aussi, notamment, dans certains clubs fermés. Concernant des observations récentes, je n’ai reçu aucun rapport à ce sujet.

Quelle est votre réaction à cette fameuse mise sur Internet d’une partie des « archives officielles » françaises, d’observations sur les OVNI entre 1988 et 2006 ?

M.E.Y : J’en ai entendu parler pour la première fois sur la BBC News au mois de Mars dernier, merci d’ailleurs de me poser cette question. C’est une première et courageuse étape vers une reconnaissance du phénomène OVNI par les gouvernements, qui se répercutera peut-être sur les organismes et la communauté scientifique.

Puisque le GEIPAN a parlé de 1650 cas d’observations (qui sont à ce jour restés sans explications), il pourra peut-être influencer le gouvernement pour que ce dernier soutienne : « La campagne sur la révélation du phénomène OVNI dans le monde entier », et appeler l’Assemblée Générale des Nations-Unies à :

1 - Tenir des auditions publiques concernant la présence d’OVNI/E.T. sur et autour de la Terre.

2 – Tenir des séances publiques sur les énergies alternatives et les systèmes de propulsion en rapport avec ce sujet, qui apporteront des solutions, dès qu’elles seront connues aux problèmes de l’environnement et à d’autres beaucoup plus globaux.

Les autorités Kenyanes vous apportent-elles leur soutien dans la récolte des informations ?

M.E.Y : Mon emploi du temps est entièrement consacré à mes recherches et à d’autres questions, aussi, à l’heure actuelle, je n’ai pas le temps d’étudier les activités des autorités Kenyanes en rapport avec les OVNI. Mais, je me souviens qu’en août 1995, alors que j’arrivais en contrebas de la ville de Naivasha (tout en arrivant d’Ouganda), qui se trouve à 90 kilomètres à l’ouest de Nairobi, j’ai eu un entretien avec un officier de Police, qui m’a raconté, qu’il avait vu (aux alentours de 1992), un objet très étrange. Il se déplaçait lentement de l’est vers l’ouest, et était illuminé de lumières multicolores. Il a été étonné et choqué. C’est généralement ce qui se produit dans ce genre de choses. Aucune personne n’aime rapporter ce genre de cas, quand vous, vous le faites, vous devez pouvoir faire face à une certaine gêne ou à de l’exagération, comme cela s’est produit pour moi dans The New Vision Newspaper, qui se trouve à Kampala en Ouganda, le 16 janvier 1995.

Pouvez-vous nous dire s’il y a eu des sorties de livres sur le sujet au Kenya ou en Afrique ces derniers mois ?

M.E.Y : En 1995, il y avait seulement une librairie à Nairobi (Kenya), qui avait des ouvrages sur les OVNI (elle s’appelait The Book Point), plus tard, en 1999, deux autres librairies ont commencé aussi, à avoir ce type de livres. Ce qui est assez étrange, c’est qu’ils se sont vendus rapidement, mais il n’y a aucune activité culturelle visible concernant les OVNI, dans la société ou les médias. Une fois, je me souviens avoir acheté le seul exemplaire d’un livre sur le sujet dans une librairie de Kampala (Ouganda).

Souhaiteriez-vous dire quelque chose aux chercheurs Français sur les OVNI ?

M.E.Y : Je voudrais vous remercier personnellement pour votre initiative, en me présentant aux chercheurs Français, aux défenseurs du phénomène OVNI et à vos lecteurs.

Je voudrais dire à mes collègues, les chercheurs Français sur les OVNI, que ce qui nous occupe est grand et noble dans le sens où l’énigme des OVNI, contient de grands secrets qui pourraient aider l’humanité dans la plupart de ses problèmes actuels. Que ce soient les religions, les changements climatiques où les sources d’énergie renouvelables.

Personnellement, j’ai tiré beaucoup d’avantages des observations Françaises, comme celles du Dr Jacques Vallée, parce qu’on y trouve beaucoup de petits détails. J’aurai un grand plaisir à traduire mon site Internet en Français, de façon à partager mes expériences avec mes collègues Francophones et je vous remercie à nouveau.

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Interview faite par Internet en Juin 2007

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Pour plus de renseignements : MAHMOUD E.YOUSSIF

2 commentaires:

Anonyme a dit…

bravo,très intéressant, c'est important de passer les frontières et de voir comment est ressenti le sujet ailleurs et dans d'autres cultures

GRELET JC a dit…

Bonjour,

Merci


JC.GRELET