A.K : Notre but est de mieux comprendre le phénomène OVNI, à ce titre, nous collectons des données, effectuons des mesures, rassemblons des documents et dans la mesure du possible, nous essayons d’obtenir une trace physique. Vous allez dire que nous allons au-delà de nos espérances.
En ce que qui concerne notre section Paranormale, notre objectif est similaire, enrichir nos connaissances actuelles en développant de nouvelles hypothèses. Mes qualifications professionnelles m’aident dans ces recherches. C’est aussi le cas d’autres membres de mon équipe. Mais en plus de la connaissance, c’est surtout le dévouement, le travail en équipe et une réelle motivation qui sont indispensables à ce type de projets.
Quelle est votre réaction à cette fameuse mise sur Internet d’une partie des « archives officielles » françaises, d’observations sur les OVNI entre 1988 et 2006 ?
A.K : Je salue les Français pour avoir fait ce type de déclaration. Cela démontre (sur une échelle globale), le professionnalisme de ce service, et également ceux des fonctionnaires qui sont responsables de la recherche et de la collecte de ce type d’information.
Pouvez-vous nous dire s’il y a eu des observations d’OVNI durant ces derniers mois dans votre région ou dans le reste de L’Australie ?
A.K : Nous avons eu l’année dernière ce que nous appelons un "pic" ou "vague" d’activité d’OVNI en Australie. Naturellement, la plupart des ces rapports d’observations ont été expliqués. Cette année, l’activité a diminué considérablement (mais pas complètement). Et puis, le fait qu’il y est beaucoup moins de rapports d’observations ne veut pas dire nécessairement que l’activité soit moindre. Au lieu de cela, certains des rapports qui datent de cette année proviennent de plus en plus des régions isolées.
Couverture du DVD rassemblant les recherches du groupe en vente sur leur site
En ce qui vous concerne, quelles sont vos conclusions sur le phénomène OVNI ?
A.K : Approximativement, 20 % des observations d’OVNI demeurent inexpliquées. Pour cette raison, nous ne pouvons en tirer aucune conclusion. Il y a toujours des éléments pour certaines théories, mais elles ne résistent pas à un examen minutieux.
Pouvez-vous nous parler de vos recherches dans le domaine du Paranormal ?
A.K : Nous avons constaté qu’il y avait très peu d’intérêt pour la recherche sur les activités paranormales en Australie. Aussi nous avons décidé de combler ce vide en faisant de la recherche innovante et active. Nous expérimentons différentes idées et actions, particulièrement avec la spectrométrie extra-visuelle. Dans certains cas, des rencontres rapprochées et le Paranormal se complètent l’un l’autre. C’est un autre secteur sur lequel nous travaillons. D’ailleurs, une partie est disponible sur notre site.
Pouvez-vous nous dire s’il y a eu des livres qui soient sortis sur le phénomène OVNI ou les phénomènes paranormaux ces derniers mois en Australie ?
A.K : Il n’y a pas eu de nouveaux livres Australiens qui soient sortis ces derniers temps. Mais nous avons une publication bimensuelle The Phenomenon Times qui est disponible lors nos réunions publiques et qui fournit des détails concernant les derniers rapports d’observations non expliqués.
Souhaiteriez-vous dire quelque chose aux chercheurs Français sur les OVNI et le Paranormal ?
A.K : Je voudrais leur apporter mon soutien et leur dire de persévérer. Vous êtes dans un pays qui semble être ouvert sur ces deux phénomènes à la fois. C’est un gros avantage en soi. En conclusion, je voudrais mettre l’accent sur le travail en équipe. Travailler ensemble vous incitera à faire beaucoup plus.
Interview faite par Internet en Août 2007
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